Introduction :
Ce rapport a pour objectif de montrer les caractéristiques et l’analyse de l’économie bretonne, ainsi que l’emploi afin de mieux orienter les recherches. La Bretagne est une région importante sur le territoire français mais aussi européen pour certains secteurs. Avec une population d’environ 3,3 millions d’habitants, la Bretagne est l’une des plus grandes productrices de blé, maïs, viande porcine, volaille, pêche/aquaculture et agro-industrie/alimentaire…
La majorité des habitants sont concentrés sur le littoral qui connaît un réel rebond depuis les dernières années, avec un accroissement important. En effet, selon l’INSEE d’ici 2040, 400.000 nouveaux habitants devraient s’installer en Bretagne en moyenne par an ce qui est tout simplement la plus importante augmentation en France. Les arguments que ces migrants avancent est, le bon vivre, le cadre de vie et surtout l’identité culturelle de la Bretagne. Rennes arrive en tête, devant Brest, Vannes, Quimper et Saint-Brieuc. Malheureusement la majorité de ces migrants sont des séniors qui viennent grossir le pourcentage de la population vieillissante. La Bretagne est également une des régions les plus égalitaires de France. Effectivement l’écart des revenus entre les plus riches et les plus pauvres est de 2,8, alors qu’en France, il est de 3,4. Seulement 2,7 % de la population bretonne est considérée comme aisé (salaire au-dessus de 9.060 euro/mois) selon l’INSEE. Le Golfe du Morbihan est le département qui accueille le plus de population riche avec 20 % de la population bretonne. Le revenu médian Breton est de 1.755 euros par mois, mais on observe une disparité entre le nord et le sud et l’est et l’ouest, le Finistère reste avec les Côtes d’Armor légèrement en dessous de ce seuil, mais accueillent le plus de population moins qualifiée et précaire, alors que le Morbihan et l’Île et Vilaine sont leader et au-dessus de ce seuil. On observe que les emplois sont plus qualifiés et que la part de migrant lié aux grands groupes présent dans ces deux départements sont les plus importants.
Également nous observons que les emplois les moins rémunérateurs sont dans l’agroalimentaire, découpe de volaille, plats préparé, biscuiterie, alors que ce secteur est l’un des plus gros employeurs 6 % et qu’il fait face à de plus en plus de problème pour recruter, mais aussi à une concurrence européenne, de l’Est principalement. Des plans de délocalisation et/ou fermeture sont en projet. Malgré tout, la Bretagne reste une des régions les plus attractive en termes d’emplois, grâce à l’innovation et la sous-traitance, service aux entreprises. Cependant, les statistiques cachent également une autre face de l’emploi en Bretagne, qui est la trop grande dépendance à des entreprises et groupes tel que LECLERC, SAMSIC, UBISOFT, YVES ROCHER, BOLLORÉ, SOCOPA, EVEN, principalement lié à l’agroalimentaire principalement ou la construction automobile.
L’économie de la Bretagne :
La Bretagne n’a jamais été une mauvaise élève en termes de performance économique au niveau national. Même si, pendant très longtemps, le fer de lance de la Bretagne était l’agriculture et la pêche, on voit de plus en plus de nouvelles entreprises innovantes, symbole de l’économie de start-up tant décrit aux États-Unis avec l’emblématique Silicone Valley. Les entreprises comme Ubisoft, SAMSIC ou encore le group Beaumanoir symbolisent ce renouveau avec le développement de secteur nouveaux, très loin des traditionnels groupes de l’agroalimentaire ou de l’élevage porcin. L’INSEE, en 2019, à classifier la Bretagne comme 9e plus important PIB régional et en 5e position en termes de PIB / habitants en France. Elle a également classifié la Bretagne comme faisant partie des 3 régions les moins endettées de France, avec un endettement de 382 millions d’euros. De plus, sur les 30 dernières années, la Bretagne a connu la plus forte progression en PIB de toute la France ce qui n’est pas identifiable aux autres régions les moins endetté tel que le Limousin et l’ex-Auvergne qui eux font partie des mauvais élèves au niveau national pour les performances économiques.
Le nautisme en Bretagne:
En raison de sa position stratégique entre l'Atlantique et la Manche, la région Bretagne a naturellement développé l'industrie navale qui a permis de créer un certain nombre d'emplois. La filière est dynamique comme le démontre Bretagne Économique à travers ses nombreux articles sur le sujet.
La position en bord de mer en fait une région naturellement adaptée aux chantiers navals. À Concarneau, au Guilvinec, à Brest, à Lorient, à Saint-Malo, l'industrie navale rayonne partout en Bretagne, mais aussi en France et dans le monde. Chantier Bretagne Sud dans le Morbihan, elle tente de porter des projets toujours plus innovants avec notamment des bateaux en aluminium et en plastique recyclé, le groupe Piriou est l’un des plus gros acteurs dans le secteur basé à Lorient, il draine également un nombre important de sous-traitants mais favorise l’innovation et la création de start-up que l’on retrouve dans la compétition nautique ou de l’industrie aéronautique, automobile ou de loisir.
Ce secteur depuis les 5 dernières années a fait preuve d’un dynamisme et d’une créativité aussi bien dans la conception, les produits ou l’innovation.
Le nautisme de plaisance montre également un grand dynamisme et représente une grande part des TPE / PME. Suite à la crise de 2008, il a réussi à se relever, se restructurer et trouver de nouveaux débouchés en diversifiant sa production avec notamment une production de bateau dernier cri.
Qu’en est-il des performances au niveau de l’import-export ?
La Bretagne reste forte à l’exportation grâce à son agro-industrie et sa pêche. Elle en est aussi dépendante mais très vulnérable. Depuis plusieurs années ce secteur subi une concurrence très forte en Europe de l’Est, ou d’Amérique du Sud avec le Brésil.
Ce secteur depuis 4 ans a perdu plus de 15 % de ses emplois, et accumule les pertes avec une baisse de ses exportations de 2 %. La crise de la Covid 19 va accentuer ce phénomène alors que plus de 50 % est exporté en Europe dont 11 % en Italie et Espagne et 8 % en Allemagne et Grande-Bretagne, la Chine 8 %, l’Arabie Saoudite, Japon, États Unis représente 3 % chacun.
En revanche, on observe une baisse depuis 2017 de 5 % par an pour l’Europe, 4 % par an pour le reste du monde. Le Brexit et les restrictions chinoises y sont pour beaucoup, respectivement -10 % et -14 %.
Comme nous le voyons l’exportation bretonne reste fragile et soumise aux aléas de la situation géopolitique, économique du monde, ou d’une crise sanitaire comme aujourd’hui.
Tableau 1: Les exportations et importations Bretonnes
Malgré tout, comme nous pouvons le voir sur le tableau ci-dessus, la Bretagne possède un excédent d’exportation par rapport à l’importation à hauteur de 1,438 milliards d’euros, fortement aider par la production agroalimentaire qui représente quasiment 34,6 % des exportations. La Bretagne étant l’un des plus importants producteurs de blé, maïs, de porc, de volaille et de la pêche en France voire Europe pour l’agroalimentaire et la pêche, cela explique la part imposante de l’agroalimentaire dans la balance commerciale Bretonne et Française.
Nous pouvons noter que les machines de transport et machines industrielles qui représentent environ 22 % des exportations, mais qui sont pour certaines fabriquées et/ou assemblées en dehors de la Bretagne ou de la France, dont environ 40 % sont des groupes d’implantations étrangère ou Française sont soumis à la pression internationale.
La recherche en Bretagne:
L’émergence de la production informatique, électronique et optique incarne le début du renouveau de l’économie bretonne. En effet, comme nous pouvons le voir ci-dessous, en termes de recherche et développement, la Bretagne se place toujours à la 7e place des régions en termes de dépenses R&D, rémunération R&D et nombre de chercheurs.
La présence des laboratoires biologiques et cosmétiques d’Yves Rocher permet également de gonfler ces chiffres, car ils représenteraient 70 à 80 % des dépenses faites, ainsi que des effectifs du secteur privé. Le reste étant assuré par des groupes comme PSA, l’Ifremer et de TPE/PME très activent dans des secteurs de pointes.
Tableau 2: Nombre de brevets déposées en Bretagne
Les effets de la pandémie sur l’économie en Bretagne :
Il est important de signifier que toutes les régions françaises ont été touchées par la crise liée à la covid-19 et que rare sont ceux qui n’ont pas connue une baisse d’activité. D’après Billet, la Bretagne serait la région la moins touchée par la pandémie avec une baisse d’activité de « seulement » 31 % par rapports à la même période l’année dernière, porter par une industrie agroalimentaire qui n’a pas baisser de régime (5 % de baisse d’activité sur la période).
Le Finistère est le département le moins touché avec une baisse d’activité de 29 % suivie du Morbihan + Cote d’Armor avec 30 %, ce sont par ailleurs les régions les plus agricoles de la Bretagne. L’île et Vilaine, départements constituant la majeure partie des entreprises de services, a vu son activité baisser de 44 % sur la même période. 23 % des salariés bretons et 39 % des non-salariés travaillent dans un secteur dont l'activité est réduite de 2/3 (commerce, construction, hôtellerie-restauration). Pour les saisonniers, c’est une baisse de 25 % dans l’emploi. 58 % des entreprises impactées par la crise, jusqu’à 75 % dans certains secteurs comme la restauration.
Pour aider les entreprises en difficulté, le gouvernement à proposer des prêts garantis afin d’aider les entreprises à surmonter la baisse d’activité et le manque de clients pour la plus parts. Depuis avril, 1.6 milliards d’euros ont été accordés aux TPE et PME, ce qui constitue 11 573 entreprises dont 10 491 pour les TPE (approximativement égales à la moyenne nationale) sur toute la Bretagne. Les secteurs qui ont pu bénéficier le plus des aides sont les:
Réparations automobiles (16 % de la somme totale versée)
Entreprises hébergements/restaurant (30 % de la somme totale versée)
Construction (11 % de la somme totale versée)
Au niveau national, la Bretagne est la 10e région qui a reçu le plus des aides garantie par l’état et la 8e en termes de prêts pré-accordé.
Le nombre d’entreprises créé est également en chute, 65 % d’entreprises crée en moins par rapport à la même période l’année dernière. Ce chiffre certes impressionnant, demeure le plus faible sur la période au niveau national (900 entreprises de créer au lieu de 2600).
Comme nous pouvons le voir la Bretagne résiste bien, mais risque de voir son dernier trimestre 2020 revoir ces chiffres à la baisse, pour les ventes en agroalimentaire et la hausse du chômage. L’année 2021 s’annonce difficile pour bon nombre d’entreprises et sera déterminante pour certaines d’entre elles, les 100 milliards annoncés par l’état pour la relance devront avoir un résultat rapide et être efficace. La relance de la consommation devra être au rendez-vous sans quoi les secteurs comme l’agro-alimentaire sera lourdement affecté, pas sure que le plan gouvernemental puisse relancer cette consommation. Rappelons que le "made in France" reste fortement taxé (taxes et charges sociales sur les entreprises) et donc pas attrayant pour la classe moyenne et pauvre.
L’emploi en Bretagne :
Les prochains tableaux montrent la structure des emplois en Bretagne par secteur d’activité :
Tableau 3: Structure de l'emploi dans la construction en Bretagne - 2017
Tableau 4: Structure de l'emploi dans le commerce en Bretagne - 2017
Tableau 5: Structure de l'emploi dans les services marchands en Bretagne - 2017
Tableau 6: Structure de l'emploi dans le secteur primaire (agroalimentaire, sylviculture, pêche, activité minière) et secondaire (industrie, énergie, production produit fini, construction) en Bretagne - 2017.
Comme nous pouvons le voir sur les tableaux présenter au-dessus, deux secteurs procurent le plus d’emploi, à savoir les services marchands avec plus de 420.000 emplois ainsi que le secteur primaire/secondaire avec 158.177 (en nette baisse depuis 2000). Ces tableaux démontrent également le changement du paysage économique bretons depuis les 20 dernières années, à savoir que, progressivement les secteurs tertiaires prennent de plus en plus d’importance dans l’économie, mais également l’emploi en Bretagne. Mais qu’en est-il de l’âge des employées ? Comme l’ensemble du territoire, la Bretagne subit un vieillissement de la population. En effet, selon l’INSEE, il devrait y avoir 1/3 de senior (+55 ans) en Bretagne d’ici 2050, aujourd’hui, il est d’environ 45 % pour une fourchette de 40 et 70 ans, soit environ 20 % de senior. Malgré l’ensemble des programmes proposer par le gouvernement français pour aider l’emploi des jeunes, les entreprises bretonnes n’arrivent pas à recruter des jeunes dans tous les secteurs et quand ils y arrivent, selon le site entreprendre BZH, 80 % des jeunes ont quittés l’emploi dans les 2 années. Des analystes de HAYS ont avancé que ce problème était lié à la gestion catastrophique des emplois en Bretagne et plus largement en France, mais également à la nouvelle génération qui est toujours indécise quant à son avenir, illustrer par le ministère de l’éducation qui compte 1 élève sur 2 qui se réoriente après la première année d’études. Sur 131.000 projets d’embauche en 2019/2020, plus de 60 % ne trouvent pas de candidat et n’ont aucune demande au bout de 15 mois. Selon Pole-Emploi, les secteurs en demande sont :
- Le commerce/vente - Construction/BTP - Agriculture/pêche - Santé - Le management en général du fait d’un départ massif à la retraite des actuels gérants depuis plus d’1 an, 70 % des dirigeants doivent partir à la retraite d’ici 2021.
Pour ce qui est de l’emploi pour les seniors, les secteurs comme le consulting devrait connaître une réelle augmentation dans les prochains mois, car de plus en plus d’entreprises auront besoin d’assistance et d’expérience pour surmonter la crise mondiale qui s’annonce (à condition que les gérants bretons le comprennent !).
À signaler que les seniors devront utiliser les statuts comme l’auto-entrepreneuriat ou le statut de travailleur indépendant, ce qui demande une refonte totale de la mentalité du monde salarial à la Française.
Notons que suivant une enquête de McKinsey Global Institute, le travail en « freelance » n'est pas une fatalité pour les deux-tiers des travailleurs, c'est même une grande source d'épanouissement professionnel et personnel pour la plupart d'entre eux. Dans cette même enquête l’institut table sur une augmentation due à la crise et va amplifier le phénomène, l’accès au numérique y est pour une bonne part la cause de son développement. Mais cela implique de nombreuses évolutions pour rendre ces activités réellement accessibles à tous dans des conditions justes et décentes, notamment en ce qui concerne la régularité de ses revenus, l’accès au crédit, à la formation et à la protection sociale. Le risque de « l’Ubérisation » est grand et rendu le standard dans les grands groupes. Moins de masse salariale et flexibilité totale.
b) les effets de la pandémie en Bretagne
Les suppressions d’emploi de la part de grand groupe comme PSA, AIRBUS… Auront un impact considérable sur l’économie bretonne particulièrement sur les sous-traitants qui, très souvent, se reposent uniquement sur le commerce lié avec ces grands groupes, mono clientèle.
Ainsi, malgré le fait que les suppressions sont pour l’instant assez faibles sur le territoire et en Bretagne, elle devrait s’accélérer à compter du début janvier 2021. Les emplois supprimés sont pour l’instant liés aux travaux manuels comme les serveurs, les cuisiniers, les employés de maintenance… Très peu seront à priori liée à la gestion des entreprises ou les cadres en général, car ce sont les emplois nécessaires pour redéfinir la stratégie des entreprises.
Tableau 7: Evolution de l'emploi en Bretagne et en France
Tableau 8: Emploi par secteur en Bretagne [2010-2020]
source: · Sources : Insee, estimations d'emploi ; estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee.
Photo 9: Supression d'emploi chez HOP
Conclusion et remarques
La Bretagne a toujours été, et on le démontre dans ce rapport, une bonne élève au niveau des performances économique même en temps de crise. Cependant, malgré la diversification rapide de l’économie bretonne, elle se base encore trop, au même titre que les entreprises que l’économie françaises, sur des acquis. Toutes les performances économiques sont dues à des grandes entreprises historiques comme Y. Rocher, Leclerc, Piriou, Boloré, la R&D étant liée en grande majorité à Yves Rocher, l’emploi dans les services aux entreprises à SAMSIC, ou encore l’industrie électronique avec Ubisoft. Or, nous avons vue avec par exemple AIRBUS, que certaines régions qui se sont trop basé sur des acquis être sévèrement impacter par la crise du COVID. La Bretagne est au final à l’image de la France, un territoire fragile où la disparité entre l’emploi des seniors et des jeunes se fait de plus en plus important, aucune politique pour attirer des talents et des entreprises internationales pour favoriser le développement de l’ensemble des secteurs. La grande majorité des entreprises bretonnes vend ou produit pour la région, peu au final exporte même si les chiffres sont flatteurs, mais ne concernent que quelques entreprises. Tant que la Bretagne aura une politique passive, elle ne progressera pas, dans les dernières années aucune mesure concrète a été prises par la région à l’inverse de régions comme la Provence-Alpes-Côte d’azur qui favorisent le développement de bureaux d’études et d’industries innovantes, Grenoble, Montpellier ou Bordeaux. L’exportation reste aussi un secteur où les entreprises doivent faire des efforts et se renforcer. La compétition internationale est bonne pour l’innovation et la recherche, elle oblige les entreprises à se remettre en question et donc progresser. L’entreprise bretonne est trop casanière et fermée à l’export, le partenariat et les associations ne sont pas aussi utilisées et exploitées. Aujourd’hui, les échanges internationaux favorisent ce genre de procédure pour accéder à un marché, mais aussi étendre son propre marché. Nous l’avons vu que l’emploi reste fragile et précaire pour une grande majorité des Bretons, les cadres devraient être épargné par la crise, mais devront aussi modifier leur statut de salarié en indépendant. Ce sera surtout le cas pour les seniors. Les secteurs traditionnels devront eux se réinventer et rendre leur production plus attractive et compétitive, le risque de casse sociale dans ces secteurs est important. Cependant il y a de l’espoir pour des secteurs innovants et récents qui peuvent tirer leur épingle du jeu, la Bretagne bénéficie d’un taux de diplômé élevé, l’un des meilleurs de France, il existe donc un vivier pour ces start up et entreprises de pointe ou de hightech qui souhaiterais venir s’y implanter.
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Auteur:
Jean-Luc Achard - Directeur SEPEC CONSULTS SAS
Sepehr Achard - Conseiller en investissement et organisation d'entreprise
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